Saturday, February 26, 2011

Oklahoma, BYUH Got Talent. Il ete un nuit interessant. J'ai un beguin sans retour (unrequited?). Mais, je penser que tout les beguins sont sans retour. Il fait les weekend un petit peu triste. . . et les semains. De toute facon, il y a un couple des choses que me fait contente ce soir. Un: Je lu un lien de NPR que a ete dans mon email pour deux ans (ou quelque chose comme cet). Il est sur un critique de musique: Michael Steinberg. Il est un clip de son commentaire aussi. Deux: Oklahoma. Il n'ete pas un tres bon piece, mais, j'aime a regarder le peuple jouer. Trois: je n'ai pas un trois chose. Desoles. Ici est le lien a l'article par Michael Steinberg (il est un tres belle article... ecouter)
http://www.npr.org/player/v2/mediaPlayer.html?action=1&t=1&islist=false&id=111078724&m=111070329

Monday, February 21, 2011

J'ai commencé le film Les Enfants du Paradis. Il est un très intéressant film (au moins la première moitié). Le film a réalisé par Marcel Carné et écrit par Jacques Prévert (qui est aussi un poète) en 1945. Le film a fait pendant l'occupation de les Allemandes. je régardé le film avec ma tante. Il s'appelle Suzelle. Elle n'a pas un nom de famille (elle changé s'appelle à juste Suzelle). J'aime ma tante. Je suis comme elle en quelque façons. Je suis contente qu'elle est ici, en Hawai, et prêt à regarder les films comme les enfants du paradis avec moi.

Thursday, February 17, 2011

J'ai vu un film en ma classe de Post-Colonial Theory and Film. Il est appelle "L'Odeur de la papaye verte." Il est en le langue Vietnamien, et il a produit en France. Le réalisateur est Tran Anh Hung. Il est un beaux film. J'ai aimé le film pour beaucoup de les raisons, un de laquel est la musique. Il m'a rappelé de un quartette de ficelle par Debussy. Il est le quartette en G. Debussy été dans le film: Claire de Lune. Mais, ceci quartette a été dans ma tête à le fin de le film. Voici un partie de le quartette.

Tuesday, February 15, 2011

le dévotieux a été sur le mariage audjourd'hui. Il est bizarre de penser sur un sujet comme mariage. Il est important, mais très bizarre. Aussi, il est un petit peu gêné... J'ai été à coté de mon voisine de parlier. Il est finit avec son diplôme. Il just dormi. Peut être il a rêvé de sa femme.

Sunday, February 13, 2011

J'aime le ska. Il est comme un antidépresseur. Les Spécials sont très bon. écoutes et Dances un petit peu.

Thursday, February 10, 2011

Je suis allée à une discussion commission sur Israël (et égypt) dernier soir.Il a été très intéressant. J'ai appris beautcoup plus sur les relations de les Israéliens et les palestiniens. Une de les choses a été que après le mur en Israél, les peuple aimer les palestiniens moins de avant, quand ils ont eu beuacoup de violence par les palestiniens. Il a été très intéressant. Aussi, RFI dis cet sur égypt: "Les militaires, qui jouissent malgre tout de la sympathie de la population, jouent un role central dans la crise actuelle." Il est une situation complexe.

Sunday, February 6, 2011

J'ai regardé un film avec mon ami: "Tirez sur le pianiste." Il est un bon film. Il y a beaucoup de bons films que nous ne pouvons pas regarder parce que la nudité (la nudité est un mot féminin ... interessant). Mais, je l'ai  regardé malgré tout. Cet film a été très interessent. Je ne pense pas que je comprends le film complètement mais j'ai aimé le film. J'aimé le scène quand le patron de le bar étouffait Charlie (le prémiere personnage) et parlait  de comment il aime les femmes. Il est un bon film.

Wednesday, February 2, 2011

Un poème par Mimi Hunt, ma grand-mère


INTRUSION
The road wound up the mountainside; we saw
The dust suspended in the quiet air.
Some lay in poppies’ pleading cups as if
When dew is asked, a dross may still suffice;
And some made ecru ruching round and round
The lacy frills of countless little leaves.
The firs looked bravely up, but all their leaves
Drooped slightly down from sympathetic twigs.

And then we reached the top. A coolish breeze
Dried our faces, turned madrone’s mien
To dark and light. Below us far we saw
A sea of cloud, the billows piling high,
Each nudging each as if politeness said
That some must go to leave the others room.
But when politeness’ little game was played,
They kept the rubbing-shoulders status quo.

And now we spiraled down, from bright to gloom;
The spidery wisps threw sprinklets as we passed.
And then the giant’s lupined mantel ringed
With briny grass. We found him sleeping there,
His vast, unlidded eye the darksome glass
Of mists pulled up between him and the sky.

We bowed our heads in genuine accord,
And left with scarce a single spoken word.